La violence, c’est l’état et le capital !

 

Carnaval, cortèges festifs et fleuris, tam-tam, fanfares, et pour finir teuf alterno-techno de la Cegete…

À quoi ça sert ? à oublier la répression policière contre les manifestants, les milliers d’arrestations, les condamnations, les emprisonnés, les blessés (dont un toujours dans le coma) ?

Alors « les flics avec nous », « CRS, des bisous » ? Slogans naïfs néo « peace and love » !

Eux ne sont pas là pour faire la fête, ils bossent pour l’état et le capital. Et leurs maîtres sont toujours en lutte contre nous. Gauche, droite, tous les partis (même « ouvriers ») ne servent qu’à maintenir la structure bourgeoise de l’organisation sociale : la Nation-État représentante des intérêts économiques de la classe des exploiteurs.

Nous, nous appartenons à la classe des exploités et notre lutte s’inscrit dans une longue histoire visant à notre émancipation. Dans cette logique notre mouvement est porteur d’un projet de société, seule alternative face à l’utopie capitaliste.

Récupérons le pouvoir sur nos vies et balayons la précarité en nous organisant nous-mêmes par des assemblées générales souveraines solidaires à travers une organisation fédéraliste. Seule la grève générale permettra la mise en place de l’autogestion des entreprises et des communes.

 

La grève généralisée est un premier pas mais le but est le communisme libertaire !