Dans la torpeur ambiante, la désinformation et l’oubli volontaire des médias, les raisons, pour nous salariés, de nous mobiliser, restent nombreuses, autant dans notre cadre hexagonal que dans d’autres régions du monde :
- non respect des droits des travailleurs par le patronat ;
- remise en cause des acquis sociaux ;
- nouvelles législations favorisant la flexibilité et la précarité dans le travail, avec le contrat « nouvelle embauche » dans leur douce France, ou l’ex tension de l’intérim au Venezuela… ;
- accroissement de la misère, en Kirghizie, en Bolivie… ;
- injustices, dont est victime par exemple Mumia Abu-Jamal aux États-Unis.

Contre la misère, l’exploitation, contre l’injustice, des voix s’élèvent (en Espagne toujours), des mouvements de colère populaire éclatent (comme en Bolivie ou en Kirghizie), des travailleurs tentent de reprendre en main l’outil de production (c’est le cas en Argentine).
Mais la mobilisation sociale ne portera ses fruits que par un travail de conscientisation et d’auto-organisation.
L’espoir révolutionnaire est toujours vivant !