Comme ce fut le cas de la société Utopia de Toulouse, on trouve au cinéma les Carmes d’Orléans les mêmes pratiques d’exploitation des employés par un patron de gauche, soutenu par des associations altermondialistes et citoyennistes.
De leur côté, les partis écologistes et gauchistes, se servant du réseau Sortir du Nucléaire comme marchepied électoral, ne remettent pas en cause notre société nucléaire.
Quant aux pouvoirs en place, qu’ils soient de droite ou de gauche, qu’ils soient étatiques ou municipaux, on trouve la même complicité avec le système capitaliste, aujourd’hui libéral, la même recherche de profit et de rentabilité au détriment des exploités : incurie de l’état face au problème du mal-logement, abandon des missions de service public, violations du droit du travail et du droit à l’information.
En réponse, constamment, par la lutte à la base et l’action solidaire, des travailleurs résistent à la domination, à l’exploitation et à l’aliénation.
Pour poursuivre leur émancipation, il existe depuis plus d’un siècle une langue universelle, l’espéranto, qui permet aux travailleurs de porter leur propre voix devant leurs propres instances internationales ; ces outils sont indispensables à la construction de la solidarité, seule voie pour aller vers le communisme libertaire.
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