Plus de 130 jours de grève chez Mercadona — lire cet article
(Syndicat intercorporatif de Montpellier d’après La Lettre du CDES)
En Espagne, pour exiger la réintégration de 3 militants de la CNT-AIT licenciés par le groupe Mercadona et pour mettre fin au harcèlement d’un patron tout-puissant et répressif, le syndicat CNT-AIT de Mercadona a entamé une grève depuis le 23 mars et se mobilise quotidiennement pour assurer sa victoire !...
Témoignage : Le 15 juillet, une manifest’action internationale — lire cet article
(Patrice, syndicat intercorporatif de Montpellier)
[...] Une quarantaine de porteurs de drapeaux noir et rouge s’engouffrent dans un Mercadona au carrefour de la rue Calabria, avec pour argument le slogan « Readmisión de los despedidos » ; dehors, un harangueur ivre de parole tient captive notre attention. Le magasin régurgite les cénétistes, un rideau d’autocollants s’abat sur sa façade...
Serbie : une action payante — lire cet article
(Transmis (et traduit) par le Syndicat intercorporatif de Montpellier, d’arès un courriel du Secrétariat international de l’ASI.)
L’ASI (Anarcho-Syndicalist Initiative), section serbe de l’AIT depuis le congrès de 2004 à Grenade, nous informe du succès de sa première action indépendante en juin 2006, à Belgrade. Leur syndicat de Belgrade a été contacté par Slavica K., employée d’un restaurant italien quatre étoiles, le « Mamma mia »...
Le procès de Mindin — lire cet article
(Syndicat intercorporatif de Montpellier, d’après divers courriels de Chantal et de Phi)
Lors du procès opposant la direction de l’établissement de Mindin à Chantal T. et Philippe C. (l’animateur radio) le 4 juillet, il a été conclu à un défaut de procédure : l’institution ne pouvait demander une citation directe mais devait passer par le procureur. Ce « verdict » ne porte malheureusement que sur la forme et Chantal parle d’« un coup d’épée dans l’eau » ; elle regrette en effet que sa parole n’ait pas été reconnue officiellement...
La précarité, c’est le salariat ! — lire cet article
(Syndicat intercorporatif de Châteauroux)
Dans le cadre d’un Forum Social Local à Issoudun (36), le 21 mai dernier, des salariés des entreprises Timken (18) et Berry tapis (36) ont exposé les conditions dans lesquelles ils ont vécu un plan social au sein d’un grand groupe qui accumule les profits. Ainsi, les dirigeants belges de Berry tapis ont décidé de fermer les 2 sites dont ils disposaient dans l’Indre. Pourtant, dans le même temps, l’un d’entre eux investissait dans une autre entreprise berrichonne, Balsan. Pour le géant Timken, peu importe le sort de quelques dizaines de travailleurs dans le Cher, l’essentiel est d’amasser des bénéfices toujours plus juteux...
Danger travail ! — lire cet article
(Syndicat intercorporatif de Châteauroux)
Comment peut-on laisser se perpétrer l’exploitation des salariés, tolérer la misère et le chômage, accepter que nos collègues soient brimés ou virés ? C’est à ces questions que le psychiatre Christophe Dejours a tenté de répondre dans son livre Souffrance en France, la banalisation de l’injustice sociale qui a inspiré le film documentaire Ils ne mouraient pas tous, mais tous étaient frappés...
Élèves sans papiers : les chiens de chasse sont lancés — lire cet article
(Syndicat intercorporatif de Châteauroux)
« Il n’y aura pas de chasse aux enfants, il n’y aura pas d’expulsion qui seront effectuées cet été » a déclaré Klarsfeld, corroborant le discours de Sarkozy sur la possibilité de régularisation de familles sans papiers ayant des enfants scolarisés au terme d’un traitement « ferme, mais humain » des dossiers. Une fois de plus, on essaie simplement de nous rouler dans la farine : les arrestations et expulsions d’élèves ont déjà commencé...
Synthèse sur notre condition — lire cet article
(Benjaman, Syndicat intercorporatif du Mans)
L’être humain ne peut que s’émanciper et, malgré les grands obstacles qui lui sont mis, l’humanité avance. Bien que tous les régimes politiques aient seulement privilégié, par l’élitisme, une poignée de personnes, et exploité, fatigué, crevé, enlevé, emprisonné, tué…
L'œuvre constructive de la révolution espagnole — lire cet article
(Transmis par le syndicat intercorporatif de Montpellier d’après Georges Balkanski)
« Maintenant je peux mourir, j’ai vu réalisé mon idéal » disait un des hommes, dans la collectivité de la région levatine, qui avaient lutté toute leur vie pour le triomphe de la justice sociale, de l’égalité économique, de la liberté et de la fraternité humaines. Il y a 70 ans, suite à un coup d’État militaire, les révolutionnaires décident d’établir la seuls parade radicale au fascisme : le communisme libertaire. Dans leur tête résonnent ces mots « La liberté comme base, l’égalité comme moyen, la fraternité comme but »...